BIEN-ÊTRE

7 façons de se mettre en mode demi-marathon

Des articles sur le bien-être il y en a trop.  Ici, mon TROP est particulièrement positif, car je ne me tanne jamais de connaître le nouvel aliment vivifiant ou le parfait exercice qui me donnera la cuisse performante. Tout ça, alimente mon bonheur. Voilà, c’est dit!

La course. Été 2011.  J’essaie de penser que je pourrais aimer devenir une coureuse.  Je  me revois encore avec mes joggings gris et mon t-shirt de coton courir 2 min. de course et 2 min. de marche pendant 32 minutes. L’objectif ultime de ces 10 semaines était le fameux 10 km. Avec un ongle d’orteil en moins à la fin de l’été, j’ai réussi.

La course. Été 2014. Je suis en mode demi-marathon. Le 25 mai, je participerai à ma deuxième course officielle de 21,1 km.  Un mode demi-marathon? J’ai simplement envie de partager mes outils qui font en sortent que je suis heureuse en maudit quand je cours.

 1: Parce qu’il faut bien manger

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Les mois avant une course, je mange bien. Définissons-le bien : des protéines, des glucides pis des légumes et des fruits et pas de malbouffes. Il suffit d’un peu de volonté.

Toutefois (comme il y a toujours un toutefois) avec l’entrainement, je suis devenue dépendante au beurre d’arachide comme aliment pré-efforts physique. Je parle ici de toasts avec beaucoup de beurre d’arachide. Et il y a eu ce soir de février, où j’ai découvert les galettes de Mme Labriski. Du gros bonheur pré-entraînement.

2: Non merci, je ne bois pas

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Mes achats lors de l‘Expo Manger Santé et Vivre Vert.

C’est tout simple, je préfère boire de l’eau. Beaucoup d’eau. J’y ajoute de la menthe, du citron et des concombres pour un goût différent.J’adore également le Kombucha et le thé. Je traîne ma tasse partout.

Honnêtement, je remarque une différence sur mes temps de course et mon humeur au quotidien.

3 : S’inspirer pour inspirer

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J’ai ajouté TUMBLR à ma liste de réseaux sociaux juste pour ça. On peut suivre des gars et des filles qui nous donnent le goût de bouger et de bien manger. Tsé quand j’ai un petit creux de vague, c’est ben inspirant. Et pour la mode, la déco, les voyages je laisse ça à Pinterest et Instagram.

4 : La motivation : le mot qui tue

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C’est peut-être fou de croire que Runkeeper me motive beaucoup. Fou, mais vrai.  Je me donne des défis, j’essaye d’améliorer mes temps, j’encourage mes amis. Juste le fait d’avoir une application me rend bien heureuse. Mais ne laissez pas votre téléphone contrôler votre vie de coureur.

Posez-vous la question : si mon téléphone arrête en pleine course, je continue où j’arrête?

Je sais, c’est un peu con. Croyez-moi, la situation m’est arrivée et je me suis rendu compte que ma musique et mon temps me motivaient plus que je pensais.

5 : Encore de la lecture

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Le guide d’entraînement et de nutrition de KMAG.

Il m’a suivi avant mon premier demi-marathon, je l’aime tout simplement. Une lecture simple et efficace.

6: Je me trouve belle quand je cours

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Je ne pensais pas écrire ça un jour, mais j’ai maintenant plus de plaisir à acheter des vêtements de sport. Il y a tellement choix et pour tous les budgets. Se sentir cute tout en sueur c’est possible.

En mode demi-marathon, je me gâte!

7 : La course, mais encore…

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Bonheur, mon gym propose de tout pour compléter mes sorties de course.  En mode demi-marathon, je privilégie le yoga, le Pilates, les cours de musculation.

J’ai un faible pour mes cours de TABATA : l’entraînement à haute intensité, avec intervalles.

Bon, il n’y a possiblement rien de scientifique dans mes écrits, mais j’ose croire qu’il n’y a rien de mauvais. Prends ce que tu veux, laisse le reste aux autres…ou pour un autre tantôt. 

Bonne course la gang!

Sarah

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